Les médias en parlent

Les médias en parlent

Dans cette rubrique nous illustrons l’impact positif

des nouvelles tendances sociétales, économiques ou environnementales

sur la création d’entreprises.

Des articles et informations publiés par les médias (presse régionale ou nationale, sites internet, réseaux sociaux…) sont regroupés sous 3 thèmes :


Ce thème met en évidence l’originalité de certains projets de création de micro- entreprises.


Il regroupe aussi des informations ciblées sur la création.

 


Pour en savoir plus

Ce thème est illustré par des exemples concrets de réalisations

fondées sur les valeurs de l’Economie Sociale et Solidaire.


Ce thème regroupe des exemples de créations reposant sur ces nouvelles approches

(bio, recyclerie, économie circulaire, circuits courts, développement durable….)



Les médias en parlent :

1 000 idées de création.


Il fabrique des cadres de vélo en bambou


Après une formation d'ingénieur en électrochimie et plusieurs années dans la vente de vélos électriques, Thomas Mazurié s'est lancé dans ce procédé très peu connu.

Télécharger l'article Ouest France

« Si j'ai choisi de fabriquer des vélos en bambou, c'est parce que j'avais les compétences pour le faire, remarque-t-il. C'est en parfait accord avec mes valeurs. »

Selon lui, un cadre de vélo en bambou est à la fois solide et confortable. « Pour le fabriquer et assembler tout le vélo, cela me prend une trentaine d'heures. » Il se fournit à la bambouseraie Bambou Breizh, à La ForestLanderneau. « Il faut entre trois et six mois pour le séchage du bambou », souligne Thomas Mazurié.

 

Respect de l'environnement Pourquoi a-t-il choisi le bambou ? « C'est un matériau très résistant. Le chaume de bambou (tige de la plan- te) présente des caractéristiques mécaniques comparables à celles des métaux. Son bois est très riche en silice, ce qui le rend très dur. Sa forme ronde et rectiligne lui procure solidité et souplesse. Le bambou est un excellent matériau de construction. »


Une synergie entre partenaires pour faciliter la création

Thomas Mazurié a bénéficié, au tout début de son activité, de la mise à disposition d’un local au 1, rue Louis Pidoux à Brest dans le cadre d’un Service Plus Box : dispositif géré par AB Services création en partenariat avec Brest Métropole.

Il est également soutenu par Chrysalide (Coopérative d’activité et d’emploi) avec qui nous entretenons un partenariat étroit sur de nombreux projets portant notamment sur la mise à disposition de véhicule utilitaire dans le cadre de notre dispositif Prêt de Matériel avec Accompagnement.



Une aide régionale pour les jeunes entrepreneurs

Son nom: Accélérateur Initiatives Jeunes: I L'idée est de booster un projet repéré sur la plateforme de financement participatif Kengo. Près de Rennes, Soline Foret, lauréate 20î8, en a bénéficié.

À l'intérieur, l'odeur des cookies qui dorent au four fait saliver. Un four qu'elle a pu acheter grâce au soutien de la région Bretagne via son dispositif Accélérateur initiatives jeunes. Quèsaco ? Il est destiné à booster un projet repéré sur la plateforme de financement participatif Kengo. Dès que celui-ci atteint ou dépasse 70 % de son objectif de campagne, il peut bénéficier d'un soutien financier pour les 30 % restants, dans la limite d'un plafond de 4 000 €.


Les médias en parlent :

une nouvelle approche de l'économie


Un restaurant d’application, coopératif et éphémère

Fort d’une première expérience Cuisine du monde revient dans cette deuxième édition. Une véritable invitation au voyage qui vous permettra de découvrir les saveurs et les plats traditionnels de notre équipe composée d une dizaine de nationalités.

Cuisine du Monde n’est pas un chantier de réinsertion. C’est une approche ccopérative qui va permettre à des coopérants, porteurs de projets professionnels, et non pas seulement des demandeurs d’emploi. Ils vont apprendre le métier de la restauration dans toutes ses composantes et dans une approche des valeurs de L’Economie Sociale et Solidaire.

La coopérative de restauration a démarré début décembre au Centre Social de Pontanézen.

Au terme d'un mois de montage de projet et de formation au métier, l'entreprise est fin prête pour commencer ses prestations !


Le restaurant éphémère "Cuisine du monde 2" prend vos réservations au 07 85 69 84 18

 

https://www.facebook.com/cuisinedumonde29200/


Sur le modèle d’une ferme urbaine, « La ferme à Raymonde » est un projet écologique, citoyen, intergénérationnel, qui allie sensibilisation et production, préserve un espace naturel aux portes de la ville et inclut une dimension sociale en accueillant des publics en insertion.


La Ferme à Raymonde

Cette année, la Cress Bretagne a le plaisir de décerner le Prix breton de l’ESS à l’association Vert Le Jardin

"LaFermeàRaymonde», située aux portes de Brest.



Les médias en parlent:

des nouvelles pratiques écologiques



Petit guide de la lactofermentation par Raphaëlle Le Clercq

 

La lactofermentation est un art de transformation paisible qui bonifie les légumes du terroir. Ici, ceux de la terre et de la mer. C'est une technique millénaire, oubliée dans nos sociétés depuis l'apparition des frigos, qui permet de conserver les légumes, fruits, feuilles, mais aussi le poisson, en prévision de l'hiver ou tout simplement pour valoriser les récoltes de saison.


La technique 


Pour faire simple, il s'agit de découper des légumes en morceaux, de rajouter du sel, de les faire baigner dans leur jus (obtenu en les malaxant) ou dans de la saumure (eau + sel). Y ajouter des épices au choix, refermer notre récipient et attendre que la magie opère ... Cinq semaines plus tard mettre en petits pots de 200g ou 400g. 

Lorsqu'on laisse pourrir des aliments certaines populations de bactéries se développent et les rendent immangeables voire toxiques. 


Dans la lactofermentation nous allons orchestrer ce processus en favorisant une famille de bactéries: les bactéries lactiques ou  lactobacilles. Ce sont des bactéries qui sont présentes partout autour de nous, en nous, et notamment à la surface des légumes cultivés sans pesticides.

Lorsque ces bactéries se retrouvent dans mon bocal plein de légumes tassés et recouverts de liquide (sans oxygène), elles vont commencer à transformer les sucres des légumes en acide lactique. C'est cet acide qui joue le rôle de conservateur, en faisant diminuer le pH entre 3 et 4. Les micro-organismes responsables du pourrissement ne pourront pas survivre dans un tel milieu, Ils ne supportent pas bien l'acidité et en plus ils ont besoin d'oxygène pour se développer.

 

C’est bon pour quoi ?

 

Nous voilà donc avec une marmite pleine de lactobacilles et d'acide lactique, Miam!

Mais ces lactobacilles sont aussi ce qu'on appelle des probiotiques (« pour la vie») et qui vont venir nourrir, rééquilibrer, renforcer notre flore intestinale.

Dans mon bocal, tout ce petit monde va pré-digérer les légumes et va synthétiser des enzymes, des vitamines, et rendre les aliments plus nutritifs et plus facilement assimilables. 

Ce qui reste après cette digestion bactérienne ce sont les fibres qu'on appelle prébiotiques(« avant la vie»): c'est la nourriture préférée des bonnes bactéries de nos intestins

 

Vous mangez çà comment ?

 

À déguster cru, quotidiennement et en petite quantité pour bénéficier de tous leurs bienfaits. Quelques cuillerées de légumes lactofermentés dans vos salades, sur vos tartines, vos galettes, des légumes vapeur, en accompagnement de tous vos plats, avec le fromage, à l'apéro ... 

Le jus est délicieux aussi, un concentré de pré- et probiotiques, plein de vitamines, à utiliser dans vos vinaigrettes, vos jus de légumes ou au p't1t dej à la place du café !


Le« Sacabout », la belle idée de Maëlisse Audugé 


(Extrait Ouest France Edition Quimper 9/11/2019)


Le Guilvinec - L'étudiante en BTS pêche et gestion de l'environnement au lycée maritime a rem­porté le prix de l'initiative maritime dans le cadre du festival , "Les aventuriers de la mer", à Lorient. 

« Les morceaux de filets et chaluts représentent la majorité des déchets récoltés sur les plages. » Forte de cette constatation, Maëlisse  Audugé a réfléchi aux moyens de limi­ter ces pollutions : « Rien n'existait pour récolter les déchets de ramen­dage. J'ai donc eu l'idée d'un sac à bouts. »


Dans le cadre de sa seconde année de BTS pêche et gestion de l'environ­nement marin, Maëlisse Audugé, 20 ans, a participé au ramassage puis au tri de déchets récupérés sur la plage de la Grève-Blanche.

Une ini­tiative de Fabien Quéroué, ensei­gnant au lycée maritime, dans le cadre du projet européen Ospar, dont le protocole d'action contre les pollutions du littoral comprend le ramassage des déchets sur les pla­ges ainsi que leur tri dans le but d'éta­blir leur origine.

" 64 % de ces déchets sont des morceaux de filets. Le ramendage se fait à terre­ mais aussi à bord des bateaux », explique Maëlisse Audugé. 

 

Ne pas gêner le mouvement

Objectif du sac à bouts dénommé " Sacabout • ? " Apporter aux marins-pêcheurs un outil qui leur permet de rassembler leurs déchets de ramendage dans un souci de pré­servation de l'environnement, détaille Maëlisse Audugé. Et créer un processus de recyclage. " 

Sécurité, praticité, légèreté, ergono­mie, rétractabilité, souplesse ... « Le système de fixation doit être simple et résistant. Et le Sacabout ne doit surtout pas gêner le mouvement », insiste sa conceptrice. 



Babelicot concocte du bio gourmand qui a du sens.


 (Extrait Ouest France Bretagne 08/11/2019)


Derrière les produits bios de Babelicot, on trouve des artisans engagés, militants,  dont le leitmotiv est de« prouver par l'exemple».

 

Babelicot est une conserverie artisanale de légumes bio engagée. En 2016, à Brest, Benjamin et Eléonore Faucher, tous deux ingénieurs agro­nomes, veulent tourner la page de l'agriculture traditionnelle, à laquelle ils collaborent dans le Finistère nord depuis des années. 

Mais derrière leurs petits pots pour bébé, leurs tartinables veggies, leurs soupes ou leurs sauces et condiments, tous 100 % végétariens, ce sont surtout des militants intransigeants du bon sens. 

« Nous nous sommes rendu compte que chez les« petits» producteurs de légumes bios locaux, nous étions face à un problème de surplus de production, analyse Benjamin Fau­cher. Soit parce que la production arrive en même temps et que le marché n'est pas capable de l'absorber. Soit parce que les produits hors cali­bre et déclassés. »

 

Télécharger l'article Ouest France

Que du bio, que du bio, que du bio

Des légumes parfaitement consom­mables, représentant quasi 20 % de la production, qui restaient aux champs ou partaient au compost. Un gaspillage alimentaire proche de l'absurdité qui pousse le couple à claquer la porte de la production légumière intensive et à monter un outil au service des maraichers locaux pour valoriser leurs productions toute l'année et augmenter leurs revenus. 

Le concept plait et surtout fonctionne.



Découvrez l'article de Sarah HUMBERT publié dans l'édition Ouest-France Finistère du 23/05/2020 : 

Télécharger l'article Ouest France

La Ruche qui dit Oui 

 

" Un concept qui permet de faire ses courses auprès des producteurs locaux"

 

Favoriser les producteurs locaux:

 

"Nous ne choisissons que des procuteurs du coin, c'est l'objectif de la Ruche qui dit Oui; favoriser le circuit court. En moyenne, les producteurs sont à 40km environ de Carhaix" précise Alain PHILIPPE le créateur et responsable de la Ruche de Carhaix.

 

La solidarité de la La Ruche qui dit Oui avec les producteurs locaux et à travers eux les clients "confinés" est encore plus appréciée pendant cette crise sanitaire. La Ruche a fonctionné pendant toute la période de confinement.

 

Bénévole actif, Alain PHILIPPE (à droite sur la photo) l'est aussi dans notre association. Il est le référent local d'AB Services création sur le secteur de Carhaix et Morlaix.



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